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mardi, 2 novembre 2010

Voyage en Zélande : Un petit tour à vélo

Tour de ZélandeLe week end d'août Je suis retourné en Zélande pour voir si Drooderfiets, mon nouveau vélo, apprécieraient le paysage. La dernière fois que j'y suis allé, en 2008, j'avais effectué le trajet en voiture et m'était promené le long de la frontière avec des amis. Cet été j'ai fait le voyage en train, prévoyant de faire une petite boucle à vélo dans cette province maritime du sud.

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lundi, 8 décembre 2008

Les vélos gratuits

Depuis que je me suis fait voler mon vélo, je suis à la recherche d'un autre. Je cherche un vélo le moins cher possible et gratuit si ce n'est pas trop demander. Il y a plusieurs plans de vélos gratuits que je détaille ci-cessous. Mais apparemment j'arrive trop tard...

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vendredi, 10 octobre 2008

1637 : Le krach de la tulipe

Une petite nouvelle découverte dans le Monde au sujet des krachs boursiers. Le Monde rappelle que l'une des caractéristiques principales du krach est l'effet de panique qui voit les investisseurs vendre tous en même temps, créant ainsi une spirale baissière que rien ne peut arrêter. Le terme de "krach" apparaît lors de la chute des Bourses de Vienne et de Berlin en été et en automne 1873. C'est donc un phénomène ancien, et l'Histoire a été ponctuée de krachs plus ou moins spectaculaires. Avant de finir l'article sur une lithanie des krachs boursiers, depuis le temps que ça existe on devrait être habitués...

La "tulipomanie" fut, en Hollande, la première bulle spéculative économique et financière de l'histoire moderne. La spéculation était fondée sur le commerce des bulbes de tulipe, dont les prix atteignirent des sommets. Ainsi, en 1623, le bulbe d'une variété rare affiche 1 000 florins, en 1625, 2 000 et en 1637, 5 500 (le revenu annuel moyen de l'époque est de 150 florins). Mais en février 1637, les cours s'effondrent, déclenchant une véritable panique. En 1642, après le krach, le prix de la tulipe n'était plus qu'au dixième de sa valeur et cent ans plus tard à deux centièmes.

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jeudi, 1 novembre 2007

Le temps des expatriés

Je vous avais déjà parlé l'année dernière du salon «I am not a tourist». Un salon entièrement anglophone qui attire les étrangers venus s'installer en Hollande et qui sont un peu perdus (mais pas comme des touristes). L'année dernière, je regrettais qu'il n'y ait pas de stand francophone alors qu'il y a tant d'associations prètes à accompagner les nouveaux expats dans les méandres de la vie outre Escaut.

Cette année toujours pas d'association non anglophone présente sur le salon pour acceillir les latin, les slaves etc. Pourtant les français ne sont pas en reste. Cet automne les nouveaux expatriés français en Hollande ont eu droit à un accompagnement personnalisé.

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dimanche, 19 novembre 2006

Au sujet de mon nouveau boulot

Me voilà dans la vie active depuis mercredi dernier. Ce qui explique que je ne donne moins de nouvelles mais comme on m'en demande avec insistance, je prends quelques moments sur mon dimanche pluvieux pour vous en donner.

Pour trouver ce boulot, j'ai vu l'annonce sur Monsterboard, j'ai eu trois entretiens avec quatre personnes différentes et j'ai été pris. Je travaille donc depuis la mi-novembre. Blinck, ma boite est une société qui vend des sonneries et autre gadgets pour téléphones portables. Il y a besoin de gens pour mettre en ligne les pages web qui vendent ce service. Les bureaux sont à coté de la station WTC Zuid (voir article), ils sont pas loin de la maison, je peux y aller à vélo en 20 minutes ou en tram en 30 minutes. Les jours de pluie, je pense que je prendrait le moyen de transport qui prend 30 minutes[1].

Pendant ces trois jours, entouré de néerlandophones et dans un nouvel environnement, j'ai fait l'expérience de plein de trucs déroutants. Je ne peux pas vous en faire la liste dès maintenant mais cela me donne de la matière pour de prochains billets[2]. Ce que je peux vous dire pour le moment c'est que je suis très content d'avoir un travail, le boulot n'est pas ce que je pouvais espérer de plus passionnant mais je le découvre encore et surtout, j'ai l'occasion de partager un peut plus le mode de vie des Néerlandais. L'ambiance est bonne, je suis dans une boîte qui a deux machines à café ce qui veut dire qu'ils se donnent vraiment les moyens pour m'apporter ce dont j'ai besoin pour travailler convenablement.

Notes

[1] d'autant que la carte d'abonnement aux transports est remboursée intégralement par la boite. Non, ce n'est pas une loi Fiterman locale, c'est un avantage que les sociétés offrent souvent à leur salariés.

[2] En vrac, je vais surement vous parler un jour de WTC Zuid, des horaires de travail, de la cantine et de la couleur de la moquette dans les couloirs...

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