Temps de chien

Ce n'est pas peu dire que de raconter que le temps se gâte. Les températures sont tombées brusquement depuis le passage à l'heure d'hiver et le vent du nord s'est mis à prendre de la vitesse. Depuis lundi les averses se succèdent à un point qu'il n'est plus possible de sortir sans parapluie[1]. Ces averses pluvieuses se sont transformées en averses de gresil dans la nuit et, l'après-midi de mardi, ce sont les grelons qui tombaient. Je ne sais pas jusqu'où ça va continuer ni même si je vais pouvoir tenir...

Pas de pitié pour les équilibres

Comme il pleut comme vache qui pisse et qu'il y a un vent à décorner les bœufs, il n'est pas très possible de poser quoi que ce soit en équilibre dans la rue. J'ai du mal à prendre des photos bien cadrées sans bouger et les vélos appuyés sur leurs béquilles se retrouvent par terre. Les cadavres de vélos jonchent le sol à proximité des gares et des magasins. C'est pour vous montrer ce paysage désolé, ce cimetière de vélos que je vous parle de la pluie et du beau temps mauvais temps...

cadavres de vélos sur la route

Le vent a aussi un effet sur les avions.

En savoir plus sur les vélos morts

Note

[1] En néerlandais on dit paraplu