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jeudi, 2 novembre 2006

Le temps de gâte...

Temps de chien

Ce n'est pas peu dire que de raconter que le temps se gâte. Les températures sont tombées brusquement depuis le passage à l'heure d'hiver et le vent du nord s'est mis à prendre de la vitesse. Depuis lundi les averses se succèdent à un point qu'il n'est plus possible de sortir sans parapluie[1]. Ces averses pluvieuses se sont transformées en averses de gresil dans la nuit et, l'après-midi de mardi, ce sont les grelons qui tombaient. Je ne sais pas jusqu'où ça va continuer ni même si je vais pouvoir tenir...

Pas de pitié pour les équilibres

Comme il pleut comme vache qui pisse et qu'il y a un vent à décorner les bœufs, il n'est pas très possible de poser quoi que ce soit en équilibre dans la rue. J'ai du mal à prendre des photos bien cadrées sans bouger et les vélos appuyés sur leurs béquilles se retrouvent par terre. Les cadavres de vélos jonchent le sol à proximité des gares et des magasins. C'est pour vous montrer ce paysage désolé, ce cimetière de vélos que je vous parle de la pluie et du beau temps mauvais temps...

cadavres de vélos sur la route

Le vent a aussi un effet sur les avions.

En savoir plus sur les vélos morts

Note

[1] En néerlandais on dit paraplu

lundi, 25 septembre 2006

Dimanche à Biesbosch

maison de bois à Biesbosch Notre premier week-end après les vacances, nous sommes allés à Biesbosch, un des parcs nationaux des Pays-Bas. D'après ce que nous en avions lu, nous devions croiser plein d'oiseaux sauvages lors de notre balade en canoë mais nous n'avons vu que quelques grenouilles et des canards. La balade était quand même très agréable et nous avons pu arrêter notre embarcation à la maison de bois (Houten griendwerkerskeet) peu après avoir passé la maison de pierre (Steren griendwerkerskeet) et juste avant la maison de paille (Rest steren griendwerkerskeet). Nous n'avons pas croisé le grand méchand loup...

Biesbosch est situé à l'embouchure de la Meuse (Maas) au sud de la ville de Dordrecht (Zuid Holland). Les terres étaient auparavant immergées, habitées et cultivées. En 1492, survinrent les inondations de Sainte Elisabeth (Sint Elisabethsvloed). Par un gros orage de novembre, les digues qui protégeaient le polder cédèrent et la région fut submergée. Depuis lors, cette région est toujours une région aquatique, c'est même l'un des derniers endroits d'Europe avec une marée d'eau douce. La région a quand même été bien aménagée au XXe siècle. Un jeu de Polders, digues et caneaux protège les terres les plus basses d'une éventuelle nouvelle inondation.

mardi, 8 août 2006

Voyage retour, voyage KLM

Me voilà de retour de vacances avec plein de pain sur la planche. Je ne vais donc pas faire un long billet. Juste un petit mot pour remercier publiquement Hervé d'avoir assuré l'intérim pendant ces trois semaines alors que lui, avait du boulot jusque là (geste).

Les avions de la KLM ont tous des petits noms

Les vacances se sont bien déroulées merci et mon voyage retour s'est bien passé. C'était de nuit, dans un Boeing 747-400 de la compagnie KLM déjà citée. Le petit nom de cet avion était « City of Beijing » alors que celui du voyage aller s'appellait « City of Orlando ».

Les avions de la Koninklijke Luchtvaart Maatschappij ont tous des petits noms (à part les KLM Cityhopper et sans doute aussi les cargos) et c'est assez rigolo de les découvrir quand on arpente les couloirs de l'aéroport de Schiphol. Apparemment les 747 de la compagnie portent des noms de grandes villes alors que les autres modèles portent des noms d'oiseau ou de personnes (à ne pas confondre).

Dans les exemples en photo ci-dessous, trois Boeing 737 avec les noms de deux explorateurs et d'une exploratrice.


Roald Amunsdsen
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Herring gull
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Sir Henry M. Stanley
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lundi, 10 juillet 2006

Hier en Fokker

Je profite d'un voyage retour à Amsterdam pour vous parler d'une aventutre industrielle Néerlandaise...

Pour revenir à Amsterdam, KLM m'a fait voyager dans un de ses cityhopper, ces avions qui font des sauts de puce d'une ville à l'autre. La plupart de ces KLM-cityhopper sont des Fokker, le mien était un Fokker F70, 80 passagers sur des rangées de 5 sièges (deux à gauche et trois à droite). Un bel avion avec des moteurs Rolls-Royce situés à l'arrière de l'appareil et fabriqué dans le pays de la compagnie affrêteuse.

mon F70 KLM-cityhopper

Anthony Fokker est un des grand ingénieurs des débuts de l'aviation. Il est Néerlandais mais il a construit son permier avion en Allemagne. Il est ensuite devenu célèbre en construisant les fameux triplans allemands de la guerre 14-18. Après le traité de Versailles, comme l'Allemagne n'a plus le droit de construire d'avions, il rentre aux Pays-Bas et crée la société Fokker en se focalisant sur la construction d'avions civils. Les Fokker sont entrés dans l'histoire par leur utilisation dans de nombreuses premières liaisons intercontinentales. Cette aventure a continué jusque dans les années 80 à 90 avec la production d'avions commerciaux réputés comme les F-27, F-28, F50, F70 et F100.

Fokker F50 vu depuis le hublot de mon Fokker F70 Alors que l'entreprise a déposé son bilan en 1996, on trouve encore de nombreux exemplaires encore en service aujourd'hui sur l'aéroport de Schiphol et ailleurs. Nous allons encore pouvoir apprécier les hublots parfaitement ovales de ces avions pendant longtemps.

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jeudi, 18 mai 2006

Bénéfices franco-néerlandais

Air-France-KLM Le bénéfice d'exploitation 2005/2006 que Air-France-KLM va annoncer aujourd'hui avoisine le milliard. 913 millions d'euros selon plein de journaux (sauf Elsevier). La première compagnie du monde (en terme de transport passagers) me prouve qu'un français peut se plaire au Pays-Bas, que les deux nationalités peuvent faire de grandes choses ensemble.

Bon, c'est pas tout ça, mais que vont-ils faire de tout cet argent ? Non, parce que moi j'en suis toujours à rechercher de grandes choses à faire au Pays-Bas. Enfin du boulot quoi...

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